Quand cette jeune fille noire, de 20 ans, n’avait que 11 ans, elle a remarqué une tache blanche sur son doigt. Après plus de sept ans à essayer de cacher un état de plus en plus perceptible, elle a décidé de devenir plutôt l’incarnation d’un mouvement positif du corps − cette décision a changé sa vie.
Lorsque Mariah remarqua pour la première fois la tache blanche à son doigt, elle n’y prêta pas vraiment attention ; sa mère la rassura à l’époque en lui disant qu’il n’y avait rien à craindre.
Au cours des années qui ont suivi cependant, elle a remarqué de plus en plus de taches blanches sur sa peau, à son grand désarroi, elles ne cessaient de grossir.
Mariah a une maladie appelée vitiligo caractérisée par des taches blanches de dépigmentation sur la peau.
Comme c’était le cas avec Mariah, la maladie commence généralement à se manifester au début de l’adolescence, elle se développe rarement avant cette période.
Mariah a été emmenée chez un médecin où elle a finalement obtenu son diagnostic formel.
Le maquillage est devenu une partie de son apparence quotidienne. De faire les magasins jusqu’à passer la nuit chez une amie, elle n’a jamais pu s’en passer ; au cours des soirées pyjamas, elle est même allée jusqu’à garder le maquillage complet quand elle se couchait, se levant avant tout le monde pour s’assurer qu’elle pouvait y faire les retouches.