Selon des informations parues dans certains sites d’information nigérians, la police de Benue a secouru une femme camerounaise qui aurait été enlevée en 1990, sous le charme à Calabar, où elle était allée passer l’examen conjoint d’admission et d’immatriculation (JAMB).
Dans les rapports, la victime, Mme Martha Eyong dit qu’elle a été kidnappée à l’âge de 16 ans lorsque le suspect, un homme de 78 ans, Ali Omonya Ameh, lui a pulvérisé une substance blanche censée être de la poudre, lui permettant de faire n’importe quoi il a instruit.
Omonya a été arrêté après une dénonciation par le père de la victime.
Selon la victime, tout s’est passé il y a 28 ans quand elle et ses amis sont allés au Nigeria pour écrire l’examen du JAMB à Calabar:
“Mon ravisseur nous a vus et a bavardé avec nous après quoi il a agité un mouchoir sur mon visage. À ce moment-là, j’ai perdu la mémoire et je ne savais rien de moi. »« Je vis avec lui depuis et nous avons deux enfants, l’un d’entre eux est à l’université maintenant. »Le dernier endroit où nous vivions était Otukpo. Un jeune homme m’a aidé, moi et un pasteur qui a prié et libéré le sortilège qui était sur moi. “Avec l’aide du jeune homme, qui vient du Nigeria mais qui joue au football au Cameroun, j’ai pu retrouver ma famille et retourné à la maison 28 ans après qu’il m’a mystérieusement emmené. “
Le père de la victime, Michael Eyong, qui était avec elle au quartier général de la police à Makurdi, a déclaré qu’il avait raccompagné sa fille à Benue pour demander justice.
« Nous venons de Mamfe au Cameroun. L’homme a kidnappé ma fille pendant 28 ans et, dans cette période de sa disparition, j’ai vécu dans les douleurs parce qu’elle est mon premier enfant. Ma petite fille de 16 ans est rentrée à la maison il y a une semaine, alors qu’elle était âgée de 44 ans et avait l’air encore plus âgé que son âge. Je remercie Dieu d’avoir répondu à ma prière. Nous avons pu arrêter son présumé ravisseur avec l’aide du commissaire de la police de l’Etat de Benue, tout ce que je demande en ce moment, c’est la justice. Ce qu’il a fait à ma fille et à ma famille ».